Julie habitait chez sa mère et étudiait sa première année de littérature, à première vue, une jolie jeune fille sans histoires, on ne peut plus normale. Elle aimait prendre soin de son corps, adorait la mode, et bien sûr lire. 

Elle était très belle, avec un visage arrondi et jovial. Ses jambes étaient fines et ses poignets menus. Sa peau était presque mate, et elle avait pris un malin plaisir à bronzer ses fesses dodues en gardant un string. Elancée de son 1m65 et gâtée de la nature par son bonnet D, elle savait jouer de ses charmes en alternant tenues provocantes et tenues plus sages... 

Bien éduquée, Julie ne considérait pas faire l’amour comme il lui plaisait comme quelque chose de moralement mal, bien au contraire! Bien que très proche de sa mère même pendant l’adolescence, Julie ne savait pas tout de sa mère, qui lui faisait croire par exemple que ses aventures avec son patron n’étaient que de l’amour. Gentille et affectueuse, elle aimait sincèrement faire plaisir.

Julie réalisa très vite qu’elle adorait le sexe, d’autant plus que le soir où elle raconta « sa première fois » à sa mère, celle ci lui dit explicitement que cela ne la dérangeait pas qu’elle « se fasse sautée » à la maison, lui offrant même sa première boite de pilule.

La jeune blonde prit la consigne à la lettre, et le lendemain déjà, un garçon la raccompagnait de l’école, vida ses couilles et reparti…  Julie ne prit plus jamais le bus.

Intelligente, elle su éviter la réputation de fille facile, seule Myriam connaissait véritablement ses pires vices… Un habile travail de mascarade et de secrets, jusqu’ici toujours respectés par des garçons de plus en plus nombreux mais se rêvant tous l’unique propriétaire de sa bouche gourmande.

Julie fut vite l’archétype de la jeune salope, jeune et jolie, elle aimait faire plaisir aux hommes et perdait toute dignité après une bouteille d'alcool.

De plus, elle adorait la levrette et s'aventurait même à la sodomie... cerise sur le gâteau, elle aimait sincèrement avaler...

Au fil des années, elle se construit littéralement des dizaines de plans qu'elle voyait régulièrement. Un véritable réseau tissé de « plans » convenus parfois sous de strictes conditions.

Sa favorite étant l'interdiction de se masturber pendant une durée définie à l'avance. Règle appliquée à tout prétendant à un plan régulier.

Julie gardait tout ça bien ordonné dans un carnet, où elle relatait parfois aussi les souvenirs de ses escapades...