Myriam était une jeune beurette au visage ravissant, bien que enfantin et innocent.

Petite de taille, elle ne portait que des hauts escarpins. Raffinée et coquette, elle n’abandonnait ses bas noirs opaques que l’été. Elle les portait cependant tout le restant de l’année et ne les quittait d’ailleurs que pour son bain quotidien.

Aimant se montrer, elle raffolait des décolletés plongeants et des bustiers push-up… mais avec son visage si innocent, cela n’arrivait pas à la rendre provocante, renforçant encore l’apparence d’une jeune fille qui n’a pas conscience de ses charmes.

Bien au contraire, Myriam adorait le sexe et la luxure, et n’hésitait pas depuis plusieurs mois déjà à joindre l'utile à l'agréable en vendant ses charmes dans des petites annonces sur internet…

La jeune beurette se constitua rapidement une liste de « réguliers » dont elle en voit presque quotidiennement. Son impressionnante collection sexy et ses talents de suceuses lui firent vite une réputation, et sa « fellation sans-blabla » devint vite sa principale prestation, outre l’occasionnelle sodomie.

Myriam avait un calendrier très chargé, avec ses cours, ses amis et ses « réguliers ». Elle avait cours toute la semaine sauf le mardi, et avait vite commencer à recevoir chez elle pendant l'heure de midi...

C'est en pensant à ses rendez vous qu'elle plaça un grand miroir dans son salon, face à son fauteuil... Elle voulait en effet réveler son corps et sa tenue le plus possible... Tenue que ses « réguliers » pouvaient choisir à l'avance, en consultant son blog privé, accessible avec un mot de passe.

Le reste du temps, Myriam était néanmoins une étudiante modèle, et seules Julie et sa maman connaissaient sa double vie... Ce qui n'empéchait pas la jeune beurette de parfois profiter de Julie, et de la convier exceptionnelement à ses rendez-vous...

Avec sa robe grise moulante et son chemiser de satin rouge, la maman de Julie, perchée sur ses hauts escarpins, était terriblement sexy.

Le string était visible sous la robe serrée, et il était évident que ce n’étaient pas des collants, mais des bas qu’elle portait. Elle s’habillait toujours comme ça quand elle allait au travail. Elle occupait d'ailleurs le poste de « consultante en bien-être » depuis plusieurs années, fière de ses talents de masseuses et de la renommée de ses « finitions ».

La plupart de ses collègues en profitait. Le patron, beaucoup. Avec ses mises en scènes et ses scénarios.

Mardi matin, « don de sperme » où il se masturbe frénétiquement sur sa langue offerte et qu’elle est sagement assise. Elle avale, et dit merci à chaque fois. Elle alterne entre une tenue de cocktail et seulement en lingerie.

Jeudi soir, « secrétaire salope » où elle va le sucer à genoux, devant son grand miroir, jusqu’à ce qu’il se répande sur son visage. Lunettes, rouge à lèvres et porte-jarretelles sont de rigueur. La maman de Julie alterne entre un veston assorti à une mini-jupe tailleur et diverses robes courtes.

Tous les premiers lundis du mois, « escort étudiante » où elle va se faire fécondée en levrette ou en missionnaire, habillée comme une adolescente en rût. Leggings, mini-shorts et micro-jupes sont souvent de la partie...

Tous les quatorze Juillet, « soubrette » où la maman de Julie se déguise en servante coquine et se rend chez lui pour assouvir son envie du jour... La seule fois de l'année où elle ne sait pas exactement ce qui va se passer!

Tous les ans, le jour de son anniversaire, c’est la « grande cavalcade », où elle s’habille comme une écolière mais avec des bas opaques et des hauts talons, et a comme consigne de porter un plug anal et de ne proposer que des finitions « orales » jusqu’au soir où il la chevauche en la sodomisant, l’estomac remplie de spermes, jusqu’à ce qu’il se vide complètement dans son anus. 

Tous les clients importants y passent aussi. Une fois, elle dut s’occuper d’une délégation japonaise toute entière. Alors que les hommes discutaient les termes du contrat, elle était sous la table particulièrement bien aménagée, occupée à aspirer chacune des queues.

Les japonais attendirent d’avoir tous été gâté avant de signer. Ils étaient plus de 10 et elle venait déjà de passer toute la mâtiné à « déstresser » l’entreprise... Son estomac était rempli de sperme.

Ce soir là, quand la maman de Julie rôta à table, elle fut sûre que sa fille reconnu l’odeur, qui ne pouvait que lui être déjà familière…

La maman de Julie faisait croire depuis de longues années qu'elle était amoureuse de son patron, marié. Elle cachait aussi la plupart de ses aventures avec des hommes, qu'elle rencontrait généralement au super-marché ou en boite de nuit. Julie était complêtement dupe, et croyait même que sa maman n'était pas au courant pour ses nymphomanies!

Ou encore comme lorsque elle fut engagée trois semaines par un groupe d’hommes d’affaires pour « remplacer » la « secrétaire » tous les « mardi matin »… Qui ne fut bien évidemment que la maman de Julie… qu’elle rencontra à la fin de son arrêt maladie, et d’où baissa cette secrète complicité.

La maman de Julie se sentit mieux un mardi matin et décida de venir récolter ses dons… et lorsqu’elle ouvrit la porte du bureau de son patron, elle le vit prêt à se répandre sur la langue tirée de la beurette… Il l’aperçu et l’invita à venir chercher son échantillon de la bouche de Myriam. Ce qu’elle fit, bien qu’elles se connaissaient déjà!

-Voilà ma jolie… c’est bon, lèche bien mes bourses, murmura le patron.

-Mhmm *sluurp* *slurp* mhmm, Myriam léchait religieusement les bourses déjà bien lourdes.

-Mhmm, je suis vraiment arrivée au bon moment, pensa avidement la maman de Julie. Elle s’était rapprochée et contemplait la jeune beurette à genoux, vêtue de hauts escarpins rouges et de bas cubains, la poitrine fermement remonté par son bustier rouge, et pensait que Myriam était à croquer. Surtout qu’elle était affairée à lécher sans retenue des bourses qui allaient en définitif, être à elle.

-Ah oui ma coquine?

-Mhmm oui, juste à point pour recevoir votre semence. La maman de Julie se frottait sous sa jupe en regardant la scène.

-Mhmm… *sluuurp* mhmmm, la petite beurette continuait de lécher religieusement.

-Oui lèche bien, lèche bien.. oui! Mhmm c’est bon, ça va bientôt venir… Sa respiration commença à s’accélérer, ce qui provoqua chez les deux chattes des gémissements de jeunes filles…

-Hann.. Mhmm.. *sluurp*

-Mhmm.. 

-Oh oui, tire la langue! Myriam s’éxécuta avec un « ahhhh », comme convenue. Le patron se reversa en de longs jets puissants qui se déposèrent un à un sur la langue de la jeune fille, qui enviait son ainée qui aller les déguster…

La maman de Julie pencha la tête en arrière et tira la langue avec un sourire aux lèvres, attendant que Myriam laisse couler le sperme dans sa bouche ouverte. 

-Ahh… Hmmm *slurp* *glOuuOp* *avale* *slurp* Merciii patron... La maman de Julie se lécha les lèvres tout en dégustant l’abondant mélange de salive et de semence que lui offraient Myriam et son patron…

S’en suivit un langoureux baisé au sperme ou leurs langues se bataillaient la moindre goutte de semence et où les mains de la maman de Julie étaient occupées à fouiller l'intimité inondée de la meilleure amie de sa fille...

Puis, elle se leva et parti sans un mot, précédant Myriam qui prit quand même le temps de se débarbouiller, avant de filer à son prochain rendez vous…

Prise dans ses réflexions logistiques, elle n’avait pas encore réalisé qu’elle venait juste de recevoir des jets de foutre sur la langue devant la maman de Julie, pour ensuite lui redonner le sperme, pour enfin l’embrasser langoureusement pendant qu’elle la doigtait!